Reprise des négociations pour la réalisation du projet pétrochimique de « Total »,installation de succursales de compagnies Françaises en Algérieie

Reprise des négociations pour la réalisation du projet pétrochimique de « Total »,installation de succursales de compagnies Françaises en Algérieie

arton1052-23eea.jpgEl Khabar a appris de sources bien informées que des compagnies françaises sont parvenues à un accord avec les autorités algériennes permettant l’ouverture de leurs succursales en Algérie, notamment, des branches de compagnies commerciales et industrielles, en association avec des opérateurs algériens.

La décision d’ouverture de ces nouvelles branches intervient au moment où les algériens et français accomplissent les dossiers de partenariat en cours, prévus de faire l’objet des négociations entre Jean Pierre Raffarin, le facilitateur français et le ministre de l’Industrie et des Petites et Moyennes Entreprises, et de la promotion des investissements, M. Mohammed Benmeradi, à leur tête le dossier de Renault, Lafarge et de Total.

Les mêmes sources ont expliqué que la première compagnie française ayant décidé d’ouvrir sa branche en Algérie est le groupe « LVL Médical » spécialisée dans l’assistance médicale, à 49% du capital. Cette compagnie est considérée l’un des groupes spécialisés implantée en France et en Allemagne en particulier.

Dans le même sillage, le groupe « Gruau » spécialisé dans l’industrie des véhicules industriels a décidé d’installer sa branche en Algérie dans le cadre de l’élargissement de ses activités à l’étranger. D’autre part, il est prévu que les dossiers restants entre l’Algérie et la France seront plus éclairés avant la fin de cette année, en accélérant le rythme des négociations, notamment dans le volet relatif à « Renault » et « Total ». Ces dossiers enregistreront une nette amélioration dès le début des nouveaux rounds de négociations entre le groupe français « Total » et « Sonatrach », afin de parvenir à une formule technique permettent d’entreprendre incessamment les travaux. Notons que ces négociations ont accusé un retard de quatre années.